Depuis, elle mène un combat quotidien contre sa maladie, faisant de la kinésithérapie et du sport, bien qu'elle trouve ces activités pénibles.
Sa séparation avec son mari, en partie causée par la pression de la maladie, l'a soulagée. Malgré le manque de soutien de sa famille et de son entourage, elle s'est battue pour ses enfants, cachant souvent sa douleur. Elle regrette de ne pas avoir pu leur offrir une enfance plus active et se sent coupable de l'ambiance malsaine qu'ils ont vécue avec leur père.