Les Natives : site web dédié aux femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK)
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site web dédié aux femmes et mettant à leur disposition des stratégies basées sur une approche globale et consciente de la santé afin de leur permettre de rééquilibrer leurs hormones et de trouver un véritable bien-être.
L’innovation au service de la santé intime
Fondé par Clara, afin d’aider les femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) à reprendre le contrôle de leur santé et à vivre leur meilleure vie possible.
Son intérêt pour le sujet a débuté en 2018, lorsqu'elle a été diagnostiquée
Les natives se mettent au service des femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) afin de les aider à inverser leurs symptômes et à se réapproprier leur corps.
Le syndrome des ovaires polykystiques !
Le syndrome des ovaires polykystiques est un trouble hormonal rencontré fréquemment chez les femmes en âge d’avoir des enfants, pouvant se traduire par des anomalies du cycle menstruel, de l'acné, une pilosité excessive, un surpoids... voire une infertilité.
C'est la maladie endocrinienne la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer puisque le SOPK affecte 5 à 10 % des femmes, de l’adolescence à la ménopause.
Il est associé à un risque accru de développer ultérieurement des problèmes de santé, tels que :
le diabète de type 2 ;
l’excès de graisses dans le sang (taux de cholestérol élevés).
Le rôle des hormones dans le cycle menstruel
Le cycle menstruel est composé de 2 phases séparées par l’ovulation.
La phase folliculaire prépare à l’ovulation. Dans un cycle normal de 28 jours, elle débute après les règles et dure environ 10 jours. Au cours de cette phase, l’hormone folliculo-stimulante (FSH), fabriquée par l’hypophyse, stimule les follicules ovariens pour qu’ils produisent un ovule mature. Elle favorise également la sécrétion par les follicules, des œstrogènes qui agissent sur l’épaississement de la muqueuse utérine et la consistance de la glaire cervicale.
L’ovulation dure 24 à 48 heures. Elle est provoquée par une augmentation soudaine et importante du taux d’hormone lutéinisante (LH), sous l’action des œstrogènes, entraînant la rupture du follicule et la libération de l’ovule mature qui se déplace dans les trompes utérines (trompes de Fallope) jusqu’à l’utérus.
La phase lutéale est la période située entre l’ovulation et l’apparition des règles et peut aller de 12 à 14 jours. Après l’ovulation, le follicule transformé en corps jaune produit de la progestérone qui contribue à renforcer la muqueuse utérine en vue de la nidation.
Les perturbations hormonales en cas de syndrome des ovaires polykystiques et leurs conséquences
En cas de SOPK, le taux de ces hormones varie généralement peu au cours du cycle. Le taux de base de LH est plus haut que celui de FSH, n’augmente pas en milieu du cycle et ne déclenche pas d'ovulation. Le cycle menstruel est perturbé.
Le taux de LH élevé est à l’origine d'une production excessive d’androgènes ovariens, en particulier de testostérone, habituellement produite en petite quantité dans l’organisme féminin. Ce taux élevé de testostérone est responsable de plusieurs types d’anomalies chez les femmes concernées :
la survenue irrégulière des règles ;
une hyperpilosité, de l’acné, la chute de cheveux, etc. ;
la présence d’un très grand nombre de follicules au développement inachevé sur les ovaires, source d’infertilité chez les femmes.
Ces symptômes sont variables d’une femme à l’autre et ne sont pas toujours présents en même temps. Toutefois, la présence de minimum 2 de ces anomalies, permet d’évoquer le SOPK.
A qui s’adresse les natives !
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